Bonjour et Bienvenue dans mon Univers !
Avant de regarder ce que je propose, je te conseille de t’intéresser à qui je suis !
Ma vision du thérapeute
Mes ressentis guident ma vie depuis longtemps, ils sont au centre de toutes mes décisions.
Un ressenti est un message du coeur, qui inconsciemment va te guider vers ce qu’il y a de mieux pour toi, l’écouter est essentiel à ton bonheur et ton épanouissement.
Je te parle de ressenti car à mon sens nous choisissons notre thérapeute comme nous pouvons choisir notre conjoint ou nos amis.
Le duo thérapeute et consultant fonctionne grâce à une connexion, un ressenti ...
« C’est cette personne que je choisis pour m’accompagner car ce qu’elle dégage résonne en moi ! »
Un diplôme ne fait pas tout
Il est important pour moi que les personnes qui souhaitent que je les accompagne comprennent que je ne suis pas seulement naturopathe, énergéticienne ou toutes autres qualifications que je peux avoir.
Je suis Isabelle, une âme qui a une personnalité, une histoire, un parcours. Un être rempli de qualités et de défauts, qui a connu et connaîtra des victoires et des échecs.
L’école de la vie est la plus belle formation, tous mes accompagnements sont imprégnés et guidés par mon expérience, mon savoir et mon coeur.
Une consultation qui m’a fait prendre conscience
Un jour, on m’a dit quelque chose qui m’a fait beaucoup rire :
« J’étais réticente de consulter car j’avais peur de me sentir jugée, pas comprise, qu’on me conseille de mettre en place des choses strictes. J’ai vu sur tes réseaux que tu vivais normalement, que tu buvais de la bière et faisais la fête alors j’ai pris rendez-vous »
Ces phrases m’ont fait prendre conscience que j’avais une part de responsabilité dans mon lien avec les personnes que j’accompagne.
À mon sens, il n’y a pas de bon ou de mauvais thérapeute. Il n’est question que de connexion entre deux personnes.
Depuis ce jour, je trouve juste que toute personne qui souhaite que je les accompagne, connaisse mon histoire.
Portrait d' Isabelle
Mon histoire
J’ai pris conscience que j’avais besoin d’être accompagnée vers ma majorité.
En l’espace de quelques jours, la vie m’a confrontée à un lieu et une personne de mon passé. Ces situations m’ont fait remonter de douloureux souvenirs, me plongeant dans une profonde tristesse.
Plus les jours passaient, plus je me rendais compte que cette tristesse n’était pas passagère, mais bien installée comme une enclume qui alourdit le coeur. Je voulais absolument me débarrasser de ce sentiment. J’ai pris la décision de commencer à consulter un thérapeute.
Cette décision est celle dont je suis la plus fière. Avec le recul, je comprends que c’était pour moi le moment de me libérer ! Cette décision m’a amené sur plus de 10 ans de thérapie avec des thérapeutes, des techniques, des méthodes très différentes les unes des autres mais qui avaient chacune leur intérêt.
Jeune, je me sentais différente
Mes premières consultations ont révélé une amnésie traumatique de l’enfance, due à de multiples stress extrêmes répétés dans le temps.
Pourtant quand je repense à mon enfance, j’ai des souvenirs heureux et on disait de moi que j’étais une fille joyeuse.
C’est vrai que je me sentais différente, en décalage par rapport aux autres, pas toujours à ma place et comprise, mais je n’avais pas le souvenir d’être en souffrance.
Au fur et à mesure des consultations, je me suis aperçue que pour avancer j’ai longtemps enfoui ma sensibilité et cette douleur, derrière beaucoup de colère et d’impulsivité. Je pense que chaque personne de mon entourage a observé le passage brutal de mon sourire à un regard froid accompagné de mots tranchants.
Je pensais que c’était ma personnalité, j’en étais assez fière ! Être quelqu’un qui ne se laisse pas faire, qui dit ce qu’elle pense, capable de tout encaisser. Moi je ne pleurais pas, je n’exprimais pas ce que je ressentais et j’attaquais avant qu’on m’attaque, c’était ma manière de paraître forte et de me protéger.
Je ne comprenais pas les personnes qui se permettaient de pleurer, ceux qui parlaient de ce qu’ils ressentaient. Je les trouvais faibles, mais au fond de moi j’étais jalouse. Ils arrivaient à faire ce qui pour moi était impensable. Parler, dire qu’on n’est pas bien, qu’on a mal et qu’on a besoin d’être écouté.
Je suis rentrée dans le cercle vicieux ; de ne pas communiquer ma souffrance et d’être en colère contre toute personne qui ne la voyait pas, ce qui m’amenait à encore plus de souffrance et encore plus de colère.
J'ai fais un pas immense le jour où j'ai compris que j'étais seule à entretenir mes souffrances !
Une introspection en profondeur
Il m’a fallu observer, analyser, décortiquer chaque millimètre de cette colère, car ma tristesse s’exprimait par de la colère, ainsi que ma déception, mon besoin d’être écoutée, où tout autre sentiment que j’éprouvais … même mon amour. Jouer à la bagarre avec les personnes que j’aimais était la plus belle preuve d’amour que j’étais capable de donner.
En dissociant mes émotions et l’impact qu’elles avaient sur mon comportement, j’ai longtemps eu la sensation de ne plus savoir qui j’étais. Ça a été la période la plus difficile. Je ne savais plus quand je réagissais à un évènement, si c’était moi ou le résultat d’un traumatisme. Je ne savais plus si ce que j’aimais ou détestais été vraiment quelque chose que j’aimais ou détestais ou si je le faisais pour faire plaisir ou m’adapter …
Je me posais constamment la question « Actuellement la colère que tu ressens, est-elle justifiée? Est-elle une autre émotion que tu ne sais pas exprimer comme le sentiment d’être blessée ou rejetée … ? Si oui, pourquoi tu ressens ça ? Qu’est-ce que tu as besoin de communiquer pour être rassurée et ne plus ressentir cette colère. »
Ce travail m’a pris des années, car il a commencé dans une certaine situation, puis s’est étalé sur tous les aspects de ma vie. Il y avait des moments de rechute, où mon ancien schéma de fonctionnement prenait le dessus, me disant « Tu te laisses faire, t’es faible, réagis … » J’ai dû longtemps me battre contre moi-même.
J’ai pris conscience qu’au fond de moi je suis remplie d’amour et de bienveillance, que j’avais juste développé au fur et à mesure des épreuves de ma vie, un instinct de survie hypersensible et très réactif et qu’en aucun cas ce n’était ma faute.
J’ai pris ma part de responsabilité lorsque j’ai décidé de travailler sur moi, pendant toutes ces années, et même si je sais que tout au long de ma vie je continuerai à apprendre à me découvrir et me comprendre.
J’ai à coeur d’accompagner chaque personne, qui souhaite faire ce même travail, celui de se découvrir dans l’amour et la bienveillance.
Le plus beau des chemins est celui que l'on prend pour aller vers soi-même !
Mon parcours
J’ai appris à mes 28 ans, que j’étais haut potentiel émotionnel, dyslexique, avec un trouble phonique et de compréhension orale. Ces diagnostics n’ont rien changé à ma vie actuelle, mais m’ont apporté un énorme soulagement, en me permettant d’avoir beaucoup plus confiance en moi.
J’ai grandi avec la croyance d’être quelqu’un de bête, sans culture, feignante, « ne se donnant pas les moyens » . On m’a souvent fait ressentir que quelqu’un qui fait des fautes d’orthographe est considéré comme idiot, que ne pas avoir de culture générale est synonyme d’inintelligence.
Tout le monde est un génie !
Mais si vous jugez un poisson à sa capacité de grimper à un arbre, il vivra toute sa vie en croyant qu'il est stupide.
Albert Einstein
L’école
Je fonctionne à l’émotion, incapable de retenir des cours d’histoire mais chantant par coeur des centaines de chansons. Je suis curieuse de tout, j’apprends par passion. Je peux me plonger dans un sujet pendant des jours, mois, années et ne pas savoir positionner les pays sur une carte de géographie.
Malgré mes difficultés, j’ai été à l’école jusqu’à mes 29 ans, et je continue à me former quotidiennement. Mes sujets favoris du moment sont les huiles essentielles, le microbiote intestinal et la spiritualité au sens générale.
Maintenant que j’ai compris comment je fonctionnais. J’ose dire que je ne sais pas des choses qui sont évidentes pour beaucoup de personnes, que quand je confonds des mots ce n’est pas parce que je reste trop longtemps sur mon téléphone, ou toutes autres remarques plus absurdes les unes que les autres, que j’ai pu entendre, mais parce qu’ils ont été mal enregistrés de base.
J’ai remarqué que quand quelqu’un était en difficulté, le premier conseil donné était souvent culpabilisant pour la personne. « Tu n’as qu’à arrêter de faire ça », « Tu devrais faire l'effort de … ». Mais si on ne comprend pas ce qui nous bloque. Comment peut-on le dépasser ? Personne n'est capable de franchir la ligne d’arrivée d’une course d’obstacles les yeux bandés.
Aujourd’hui, je me rends compte que plus j’apprends, plus je ne sais rien. J’adore changer d’avis car ça veut dire que mes raisonnements évoluent. J’ai réalisé que toutes mes certitudes peuvent changer à la suite d’une prise de conscience. J’ai accepté de ne pas savoir et je me moque de ce que les gens peuvent en penser.
Ces prises de conscience ont libéré mon esprit, me permettent d'apprendre avec plaisir et de transmettre avec bienveillance.
Devenir thérapeute est une évolution et non une reconversion
Je n’aime pas les termes reconversion, refaire sa vie … À mon sens, tout ce qui ne nous correspond plus est le déclencheur pour nous amener là où nous nous retrouvons. On ne repart pas de zéro, on fait différemment grâce à une expérience !
Toutes mes expériences professionnelles sont les briques de mon avenir en tant que thérapeute indépendant.
On ne fait pas un travail sur soi pour changer. On fait un travail sur soi pour devenir soi-même !
Mon premier amour l’esthétique
Après la 3 ème, je suis partie en apprentissage dans un salon de beauté pendant 9 ans où j’ai effectué toutes mes années d’études. J’ai commencé par un CAP, Brevet professionnel, une année de spécialisation dans le massage SPA, et un BTS.
J’adorais le milieu de l’esthétique, prendre soin du corps, parler avec les gens, avec le recul je me rends compte que j’ai commencé mes premiers accompagnements en cabine de soin, juste en écoutant les clientes qui étaient avec moi. Je bossais dans un centre où j’avais énormément de responsabilités, avoir cette autonomie m’épanouissait beaucoup.
Je n’ai pas validé mon BTS, c’est un diplôme avec une partie scientifique très poussée. Pour ma part, cela faisait 5 ans que je n’avais pas fait de physique chimie, de langues, et de science … J’avais un niveau 3ème dans ces domaines et j’étais complètement larguée.
Je me suis retrouvée dans la situation où je savais que redoubler une année m’enfoncerai encore plus. Parallèlement, il m’était impensable de terminer mes études sur un échec. En 3 jours, j’ai pris la décision de m’inscrire pour un nouveau BTS.
La découverte du milieu du commerce
J’ai poursuivi mon BTS dans le commerce par une Licence. J’aimais vraiment ce que j’apprenais. Analyser le comportement client, apprendre à communiquer en tant qu’entreprise, identifier les valeurs que l’on veut transmettre, savoir se positionner dans le marché … étaient devenus mes nouveaux sujets préférés.
Ces 3 années m’ont réconciliées avec le fait d’aimer apprendre, de se surpasser, de me refaire confiance. Cela m’a donné de l’élan pour repasser mon BTS d’esthétique en candidat libre, que j’ai obtenu et j’ai fini Majore de ma promotion en Licence.
Ma plus grande fierté était d’avoir réussi à faire mieux que ce que je me sentais capable et d’avoir repoussé toutes mes limites.
L'expérience de responsable de parapharmacie
À l’époque c’était le job de mes rêves ! Je me dis souvent « Merci la vie, de m’avoir fait louper ce BTS car autrement je n’aurais pas vécu ce parcours là »
Je me suis éclatée pendant 2 ans, j’ai découvert tellement de choses passionnantes, les huiles essentielles, la phyto … toute la partie gestion d’un magasin, le côté management, j’avais une équipe de filles au top.
On était une parapharmacie dans un centre commercial. L’univers de la grande distribution est à mon sens le plus formateur, mais sur le long terme, il fatigue. J’ai pris conscience que quitte à m’épuiser pour une entreprise, je préférais que ce soit pour la mienne.
Parallèlement, pour être efficace et pertinente dans mes conseils envers ma clientèle. Je me suis beaucoup formée, aux plantes, toutes les sortes de plantes et leurs diverses utilisations.
J’ai eu beaucoup de prise de conscience sur l’importance du corps, à comprendre ses mécanismes, comment il pouvait compenser … et je me sentais frustrée également de ne pas pouvoir questionner, comprendre et suivre ma clientèle autant que je le souhaitais.
La vie, c'est ce qui arrive quand vous étiez entrain de prévoir autre chose !
Naturellement, je suis devenue Naturopathe !
J’ai fait l’école de naturopathie, Euronature, à Toulouse. C’était une année très riche et intense, où j’ai appris un millions de choses sur la naturopathie, sur la vie, sur moi-même …
Ça a été une année très dure car elle m’a fait ressortir toutes mes faiblesses scolaires, toute la partie psychologique m’a amenée à travailler en profondeur sur moi. Mon sentiment sur cette année est que je l’ai autant aimée que détestée.
Pour apprendre sainement à mon rythme, il m’aurait fallu faire ce programme sur un an et demi. Actuellement je suis encore entrain de perfectionner certaine de mes connaissances pour pouvoir accompagner au mieux chaque personne qui vient me consulter.
L'ouverture du cabinet
J’étais super contente de mes premières consultations mais il y avait un MAIS ….
Personnellement, ça faisait quelques années que je me faisais de plus en plus accompagner sur le plan énergétique. J’ai conscience par mon expérience de l’importance et des conséquences que le plan énergétique a sur nos vies.
Il m’a fallu très peu de consultation pour comprendre que je me sentais incomplète de faire juste de la naturopathie. Je ressentais le besoin d’accompagner autrement, de compléter ma pratique pour être satisfaite des accompagnements que je proposais.
Révélation de ma médiumnité et clairvoyance
Depuis 5 ans, je me suis prise de passion pour la spiritualité. Je faisais des stages ou ateliers de chamanismes, pendules, guidances … Je lisais énormément de bouquin, testais beaucoup de choses. Je prenais plaisir et c’était pour moi un jeu de découvrir tout cet univers. J’étais comme appelée !
Je ne pourrai décrire comment cela s’est passé car ça a été très vite et très long à la fois. J’ai découvert vers mes 30 ans que tous mes ressentis, que tout ce que je pensais qui se passait dans ma tête, étaient de la médiumnité et de la clairvoyance.
Cela faisait quelques années, qu'on me soufflait l'hypothèse que j'avais ses capacités. Dans mes croyances, être médium était synonyme de Madame Irma et sa boule de cristal. Ce n'était pas moi ! Cependant plus je me documentais sur le milieu de l'énergétique et ses pratiques, plus je me reconnaissais. Mon mental s'est apaisé, mes croyances ont disparu. J'ai pu commencer à apprendre à décoder et à intégrer cette nouvelle partie de moi.
J’ai décidé de faire une formation de 6 mois de thérapeute énergétique, car pour moi le fait d’être formée me rassure. La vie a fait que j’ai rencontré des personnes bienveillantes qui m’ont naturellement aidée à comprendre mes capacités et à prendre confiance en moi pour pouvoir les utiliser.
J’ai reconnecté avec beaucoup de choses, j’avais et j’ai encore la sensation d’apprendre des choses que je sais déjà mais que je n’avais et n’ai pas conscience de savoir. Car j’apprends tout le temps; chaque soin que je fais, chaque personne avec qui je discute. J’ai décidé d’être une éponge, de prendre ce qui résonne en moi et de laisser ce qui ne vibre pas.
Depuis j’ai l’impression en peu de temps d’avoir fait un bon de 10 ans dans ma vie personnelle et professionnelle. Je mets tout mon être et mon coeur dans les accompagnements que je propose. Je m’inspire de chaque personne qui m’a accompagnée sur mon propre chemin.
Et je tiens à remercier chaque personne qui a décidé ou décidera de me choisir pour les accompagner sur leur propre chemin, à la découverte d’eux-mêmes, dans l’amour et la bienveillance !
La vie est un mystère qu'il faut vivre et non un problème à résoudre !
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